FABIOLA, UN VILLAGE TOUT SAUF ORDINAIRE
Un film d’Aline LE DUNFF
0€
DES RÉSIDENTS ÉPANOUIS DÉBORDANTS DE PROJETS !
POUR FAIRE UN DON
CHOISISSEZ CI-DESSOUS
Synopsis
Il existe des lieux qui invitent à la découverte, des lieux où tout est possible : aimer, s’épanouir, nouer des amitiés, vivre en couple, avoir son chez soi et réaliser des projets. C’est exactement ce qui se passe dans un village très particulier : bienvenue à Neufvilles. Il n'y a ni barrières ni murs, ici, 500 pensionnaires cohabitent en toute simplicité avec 3 500 habitants. Ce lieu incarne un véritable exemple d’inclusion et d’enrichissement mutuel entre personnes en situation de handicap et celles que l'on dit ordinaires.
La réalisatrice a quelques mots pour vous...
Je m’appelle Aline Le Dunff, journaliste réalisatrice française depuis 10 ans. Je signe ici mon premier documentaire long format sur le handicap, avec un regard résolument moderne et optimiste, sur la mise en lumière des personnes en situation de handicap. Après des recherches en France, c’est en Belgique que j’ai trouvé le meilleur endroit, le Centre Reine Fabiola, situé à la frontière française.
J’ai investi tout mon cœur dans ce projet, que j’ai personnellement financé pendant cinq ans avant d’être rejoint par un producteur, Philippe Sellier, qui partage ma philosophie et ma vision.
De nombreux parents, principalement français, m’ont fait part de leur désarroi face au manque de structures adaptées et de places. C’est pour faire changer les choses et sensibiliser un large public, que nous lançons cette campagne de financement participatif. Convaincue que la communauté joue un rôle essentiel, pour sensibiliser aux enjeux d’inclusion et à l’énorme travail qu’il reste encore à faire pour soulager parents et entourage, en trouvant place dans la société, une vie digne et la plus proche de tout un chacun pour les personnes en situation de handicap mental.
Votre aide peut faire une réelle différence : en soutenant et en partageant ce projet, vous participez à construire un avenir plus inclusif.
Je ne peux m’empêcher de noter avec plaisir que mon projet, commencé il y a plusieurs années, résonne aujourd’hui avec la fiction « Un p’tit truc en plus » d’Artus et son succès. Les mentalités commencent à évoluer : participez avec nous à ce changement.
Le producteur
Nous partageons l'envie de montrer une facette heureuse, drôle et joyeuse du handicap mental sans en voiler les difficultés et les problématiques. Mettre en lumière des personnes et des lieux inspirants est, une manière à notre échelle, d'aider à faire évoluer notre société et nos mentalités. Ces tranches de vie nous rappellent, comme le dit si bien BLANCHE : « On est tous différents. Et vous aussi. ».
DES RÉSIDENTS ÉPANOUIS DÉBORDANTS DE PROJETS !
« FABIOLA, UN VILLAGE TOUT SAUF ORDINAIRE » est à l’image d’une saga : cinq années d’instants de vie filmés par la caméra d'Aline, capturant le quotidien de cinq personnes, aux tempéraments sans filtre, souvent drôles et surtout émouvants. Le film s’ancre dans l’intimité de leur vie de tous les jours. Il capte l’évolution de leurs personnalités, de leurs projets, envies, mais aussi des leurs relations amoureuses et amicales.
Ce film est une invitation à bousculer notre vision du handicap, tous portent haut et fort ce simple message : leur situation de handicap n’est à leurs yeux qu’un petit détail qui ne définit en rien leur identité. S’ils ont chacun leur propre personnalité, ils sont tous portés par un but commun : chacun d’eux fait preuve d’une détermination sans faille et fait fi des obstacles pour s’émanciper à vouloir mener une vie la plus ordinaire possible.
MAXENCE, ARMELLE, JEAN-FRÉDÉRIC, BLANCHE et CLEMENT,
DES PERSONNAGES ATTACHANTS
MAXENCE a dû arrêter le sport suite à de multiples blessures. Le sport est vital pour lui, pour l'aider à canaliser une énergie débordante et un tempérament tempétueux.
ARMELLE, avec son entrain et sa bonhomie toujours présente, est devenue la première femme porteuse de handicap, dans l’histoire du Centre, à travailler auprès de jeunes enfants dans l’école du village.
JEAN-FRÉDÉRIC est le fiancé d’ARMELLE, ils vivent ensemble depuis bientôt 20 ans dans une maison de couple. Jean-Frédéric est cantinier, aussi calme que sensible. « Je rêvais d’avoir une maison pour vivre et avoir ma femme à côté de moi ».
BLANCHE qui rêve de trouver l’amour est une jeune femme romantique. Ses histoires de cœur sont importantes. Pleine de volonté, elle veut aussi gagner en indépendance en décrochant son permis vélo.
CLÉMENT est comédien depuis dix ans. Cette année, il se produira pour la première fois devant un public d’enfants. Il rêve d’être reconnu comme un comédien professionnel auprès du public et par ses pairs.
POURQUOI UN FINANCEMENT PARTICIPATIF ?
Nous sommes convaincus que sans vous, l’impact de notre film sera bien moindre. Votre soutien sera précieux pour faire connaître le message d’espoir porté par ce documentaire.
Nous avons une expérience très positive du crowdfunding, notre première aventure concernait le film LE POUVOIR DES RÊVES, il y a maintenant 10 ans. Grâce aux contributeurs, nous avons pu financer les premières images du film, créer un teaser, convaincre un diffuseur et compléter le financement. Résultat : un très beau film, des avant-premières combles, des articles dans la presse, des diffusions télé et plus de 30 festivals. Sans les crowdfundeurs, il n’y aurait pas eu de film.
Pour « FABIOLA, UN VILLAGE TOUT SAUF ORDINAIRE », nous comptons sur le soutien de la communauté touchée par la problématique de l’accueil et du manque de place pour ces personnes. Convaincus par ce type de mobilisation et par le biais du film, en Belgique et en France, les politiques ne pourront plus continuer à ignorer le problème. Et répondre à l’angoisse permanente des parents qui s’inquiètent toute leur vie pour l’avenir de leur enfant : Après eux, qui s’en occupera ? Où pourront-ils vivre ?
Ce projet a commencé pour Aline il y a maintenant 5 ans. Aujourd’hui avec vous, nous allons accomplir les derniers pas. Chacun d’entre vous, peut donner un coup de pouce pour faire bouger les lignes, en soutenant le film financièrement et en communiquant autour de vous : c’est votre part du « job ».
Notre calendrier
Novembre-Décembre
Décembre
Mars
Avril-juin
Septembre
Octobre 2025
Levée de fonds, campagne crowdfunding et recherche de partenaire
Heureux évènement pour la réalisatrice
Démarrage post-production, suite recherche de partenaires et autres diffuseurs
Post-production, montage, étalonnage, mixage …
Campagne de sensibilisation et présentation du film
Diffusion du film en télévision (Belgique)
A QUOI SERVIRA CONCRÈTEMENT LA COLLECTE ?
Le Financement du film
Le budget prévisionnel du film est de 160.000 €, en payant tout le monde au juste prix, suivant le temps estimé par rapport aux travaux fait et à venir. Un documentaire long format, c’est 20 à 30 jours de tournage, 40 à 60 jours de montage, 5 à 10 jours de finition image, du mixage...
La situation actuelle
A ce jour, nous avons obtenu un accord de coproduction avec la RTBF, ALINE la réalisatrice et TRIANGLE7 investissent personnellement dans le projet. Nous signerons prochainement un financement Tax Shelter avec un investisseur, la Commune de Soignies nous a promis de nous soutenir, ce qui représente près de 50% à ce jour. D'autres pistes de financement sont en cours l’AVIQ, Phare, Cap48, l’Égalité des chances, des Fondations, …
En tant que producteur, on s’engage à trouver 85% du financement en dehors du crowdfunding, afin d’assurer à la réalisatrice les conditions nécessaires pour la finalisation de son film, jusqu’à la diffusion auprès du public. Nous espérons que la part du crowdfunding apportera les 15% restant du budget.
LES 3 PALIERS DE LA CAMPAGNE
Palier 1 : avec 8.000 €, on finance 5 jours de tournage (salaires avec charges, transports et hébergement pour 2 personnes), et 1 semaine de montage.
Palier 2 : à 16.000€, c’est 3 semaines de montage qui sont supportées par le crowdfunding.
Palier 3 : à 24.000€, le film bénéficiera de sa musique originale et de 3 jours de mixage.
Et si les dons dépassent nos espérances, cela nous permettra de travailler plus sereinement, de rembourser l’investissement sur fonds propres d’Aline, d’organiser plus de projections, de mieux faire circuler le film.
A partir du pallier des 24.000 € espéré, participation au tirage au sort de lots d'exceptions, 1 participation pour 100 €, 2 participations pour 150 €, 4 participations pour 200 €.
Le tirage au sort se fera lors de la première du film, vous serez averti personnellement si vous êtes l'heureux gagnant de :
- œuvres d'art brut d’artistes du Centre
- places pour une représentation du Théâtre du Plantin
- bons à valoir pour un repas pour 2 personnes d'une valeur de 170 €
- séjours d'une nuitée d'une valeur de 400 €
LE CENTRE
Le Centre Reine Fabiola est l’un des premiers et plus grands foyers d’hébergement pour adultes en situation de handicap mental en Belgique. Proche de Mons, à proximité de la frontière, 15% des habitants de ce village sont des pensionnaires du Centre, avec une majorité de français, 400 sur les 500 résidents. Neufvilles est le village qui accueille le plus de personnes handicapées en Belgique et peut-être même en Europe.
LES PARENTS FACE AU PROJET
Le papa de BLANCHE : « Blanche a énormément mûri durant ces 10 dernières années passées au centre. Elle est passée du stade ado au stade adulte, à son niveau bien sûr. Elle est capable de faire des choix : amis, travails, loisirs… je la sens pleinement heureuse et épanouie. Quant à sa participation à ce documentaire, je fais entièrement confiance à l’équipe d’éducateurs pour éviter « tout dérapage » et l’enthousiasme de Blanche fait le reste. Je suis même très fier de sa participation, comme je suis très fier de ce qu’elle est devenue. Aline, j’ai la certitude que votre but est de magnifier le monde du handicap. Voir toujours le côté positif. »
Les parents de CLÉMENT : « Les résidents vivent dans un foyer. Le matin, ils ferment à clef la porte de leur chambre, mettent leur manteau, prennent une navette pour aller à leur atelier, à midi, ils déjeunent avec d’autres encore, après leur journée ils peuvent participer à des activités sportives. C’est tout simplement une vie ordinaire telle que chacun de nous la vit. Les activités proposées qu’ils choisissent, sont appelées travail. Donner ce nom de travail aux activités leur donne du sens, une ouverture vers les autres. Notre enfant prend ainsi sa part à la construction de la société, même si nous savons qu’il n’y a pas de rentabilité. Depuis déjà 5 ans. Clément n’a pas émis d’avis particulier sur sa participation et le fait d’être filmé. Il ne nous en parle pas. Il semble trouver cela « normal » Nous avons vécu cela comme une aventure qui était proposée à Clément.»